L’orgasme est un mécanisme physiologique plein de mystère. Ses bienfaits ainsi que les circonstances insolites dans lesquelles il peut survenir demeurent un mystère pour vous ? Suivez plutôt !
En effet, il entraîne la libération d’ocytocine dans le corps ; substance qui procure un grand sentiment de bien-être. Une personne est ainsi plus susceptible de se confier à son partenaire après avoir expérimenté un orgasme.
La prévalence de cette expérience est estimée à environ 0,3 % des accouchements, surtout dans le cas d’accouchements sans anesthésie péridurale ou sous anesthésie péridurale « inefficace ».
La production d’endorphines liée à l’orgasme aurait des propriétés antidouleur. Une étude réalisée par des scientifiques allemands a montré que dans 60 % des cas, un rapport sexuel permettait de réduire les douleurs liées aux migraines. En revanche, dans un tiers des cas, il peut les aggraver.
L’ocytocine libérée lors de l’orgasme aurait la capacité de limiter la prolifération des cellules cancéreuses du sein. De la même façon, 3 éjaculations par semaine permettraient de réduire de 15 % le risque d’apparition du cancer de la prostate chez l’homme.
Dans certains cas, il peut s’agir d’un trouble nommé « éjaculation rétrograde » : le sperme, au lieu d’être évacué, est renvoyé en arrière vers la vessie. Dans d’autres cas, l’éjaculation peut être consciemment retenue par l’homme, ou simplement ne plus survenir à la suite d’orgasmes répétés.
Certaines femmes peuvent expérimenter un orgasme au cours de leur séance de sport. La contraction de certains muscles déclencherait la sensation de plaisir, voire l’orgasme.
L’anorgasmie est un terme médical qui désigne l’incapacité de certaines femmes à atteindre l’orgasme, qu’importent les stimulations sexuelles. Il peut être primaire (la femme n’a jamais connu l’orgasme dans sa vie) ou secondaire (la femme a connu l’orgasme à un moment donné dans sa vie mais n’y parvient plus).
L’orgasme aurait des effets bénéfiques sur le cerveau plus importants que certaines activités mentales. En effet, il active l’ensemble du cerveau alors que des exercices mentaux comme des mots croisés ou un sudoku n’en activent que des régions limitées.
Il serait possible de mettre fin à un hoquet persistant en ayant un orgasme. La cessation du hoquet serait due à l’activation du système sympathique induite par l’orgasme, de la même façon qu’on peut arrêter un hoquet chez une personne en lui faisant peur.
Les orgasmes et l’activité sexuelle en général auraient des bienfaits sur la santé du cœur. Mesdames, messieurs, faites-vous plaisir !